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Philosophie

IL S’AGIT D’UNE MOBILISATION DE STRUCTURES CULTURELLES CAENNAISES ET RÉGIONALES, D’ARCHITECTES ET D’ARTISTES EN AFFINITÉS ÉLECTIVES AUTOUR DE LA PRATIQUE DU « FAIRE ».

Les artistes s’inspirent et inventent in situ, avec une préférence pour les espaces urbains en marge, non considérés et/ou non dédiés.

La ville et ses espaces publics deviennent des lieux où proposer de nouvelles manières de créer, de travailler et de s’exprimer.

En questionnant la place de l’individu dans la façon dont il habite, ressent et pense son environnement, les architectes et artistes invité.e.s proposent un ARCHIPEL de gestes, glanés ou posés dans la ville.

Nous avons cherché à déjouer l’acte de programmation pour proposer de nouvelles temporalités et de nouvelles possibilités de rencontres au sein d’ARCHIPEL.

Ainsi l’espace physique de la rencontre et du désir a produit de l’inattendu et s’ouvre généreusement à de nouvelles surprises, à d’autres croisements et à de futurs potentiels.

PREMIER ENJEU

Créer une organisation ouverte, dynamique et disponible, faciliter des interactions entourant nos différents types d’activités, contribuer collectivement à la recherche/création, pratiquer la transversalité et l’interdisciplinarité.

HABITER-RÊVER-CRÉER

Créer une organisation ouverte, dynamique et disponible, faciliter des interactions entourant nos différents types d’activités, contribuer collectivement à la recherche/création, pratiquer la transversalité et l’interdisciplinarité.

Au fil de ces mois suspendus, la mise en œuvre des mesures sanitaires a donné lieu à de nouvelles pratiques de ces espaces avec le confinement et le périmètre du kilomètre, la généralisation de la distanciation physique, et suscité dans l’urgence des aménagements temporaires des hôpitaux de campagne aux pistes cyclables, adaptation accélérée de nos espaces à ce contexte inédit.

Ensemble, nous avons imaginé et ouvert des possibilités d’actions, d’expérimentations, d’interventions artistiques, le temps d’une  semaine, d’une soirée, d’une journée, d’une heure.

Au fil de ces mois suspendus, la mise en œuvre des mesures sanitaires a donné lieu à de nouvelles pratiques de ces espaces avec le confinement et le périmètre du kilomètre, la généralisation de la distanciation physique, et suscité dans l’urgence des aménagements temporaires des hôpitaux de campagne aux pistes cyclables, adaptation accélérée de nos espaces à ce contexte inédit.

Ensemble, nous avons imaginé et ouvert des possibilités d’actions, d’expérimentations, d’interventions artistiques, le temps d’une  semaine, d’une soirée, d’une journée, d’une heure.

Au fil de ces mois suspendus, la mise en œuvre des mesures sanitaires a donné lieu à de nouvelles pratiques de ces espaces avec le confinement et le périmètre du kilomètre, la généralisation de la distanciation physique, et suscité dans l’urgence des aménagements temporaires des hôpitaux de campagne aux pistes cyclables, adaptation accélérée de nos espaces à ce contexte inédit.

Ensemble, nous avons imaginé et ouvert des possibilités d’actions, d’expérimentations, d’interventions artistiques, le temps d’une  semaine, d’une soirée, d’une journée, d’une heure.